Maria imperat!

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Friday, April 13, 2007


Planeten im Kosmos wie Sand am Meer

Von Günter Paul


Mein Kommentar:

Was eigentlich steckt hinter dieser eifrigen, beinahe fieberhaften Suche nach anderen Planeten ausserhalb des Sonnensystems? Gesunde Wissensneugierde? Vernünftiger wissenschaftlicher Geist? Oder die Furcht, allein im Weltall zu sein?...Oder was sonst?...Wenn man aufrichtig, wissenschaftsmässig, vernünftig, alle unumgehenden, unausweichlichen Bedingungen - kreisförmiger Umlauf um den entsprechenden Stern gehört dazu - eines hochentwickelten Lebens, wie des unsrigen, aufzählt, alle Hoffnungen auf die Entdeckung eines Planeten, der sie erfüllen kann, wirklich schmelzen. Matematisch, statistisch berechnet, nähert sich seine Möglichkeit der Null...Sie besteht nur im Bereich der (kindischen) Science Fiction. Warum hegen die Medien, manchmal so unsinnig, unverschämt, eine solche Mär?

Wednesday, April 11, 2007

Die Erdkrustenplatten drifteten schon vor vier

Milliarden Jahren

Von Horst Rademacher



Mein Kommentar:

Die heutigen Tagen haben viele alte wissenschaftliche Vorstellungen zu nichte gemacht. Beispielweise, von den Hirnforschungen wurden sogar unantastbare Dogmen verschwischt. Die Fossilien, die als Beweis für die Evolutionskette gedient haben, durch die Genforschung gründlich untersucht, erscheinen fortan keineswegs glaubwürdiger als Kinderspiele.
Merkwürdigerweise, bei der Erduntersuchung, eine verblüffende, revolutionäre Entdeckung amerikanischer Forscher hat nicht den Widerwille der Medienkruste durchboren können...
Es handelt sich um die Existenz wahrer Ozeane unter der Erdkruste, und zwar bei einer Tiefe von mehr als 1000 kilometer. Deren Umfang - vermutet der Professor Michael E. Wysession, von der Universität Washington (Saint Louis) – könnte wohl die Masse des oberflächlichen Wassers um fünf Mal übertreffen!
Damit kann man , zum ersten Mal, die eigentliche Geschichte der Sintflut wissenschaftlich begründen. Weil die Beweise einer Weltüberschwemmung von niemandem mehr ernstlich in Frage gestellt werden. Warum denn ein solches Schweigen von seiten der Medien? Dieses Geheimnis, glaube ich, wird hoffentlich bald entdeckt werden...

http://epsc.wustl.edu/seismology/michael/web/index.html

Thursday, September 14, 2006


Wo sind überhaupt die verdammten Flugzeuge?...
Keiner (ausser dem Fernsehen...) hat sie weder
gesehen , noch photographiert...
Und sogar von den unversehbaren
Titaniumbestandteilen ihrer Triebwerke
wurde keine Spur gefunden...
Wie konnte diese Inzenierung global angenommen werden?


11. September


Tausend Gutachten später

Von Klemens Polatschek

Kommentar

Luiz Carlos Siqueira Campos

Die gröβte Mär der Geschichte...

Wie Sie alle, wie alle Welt habe ich es nicht bezweifelt, was meine estaunten Augen
auf dem Bildschirm (zum wiederholtenmal...) gesehen haben:
Ein wesentlich aus Aluminium gebautes, voller Kerosin Flugzeug,
das auf ein stählernes, hundertfach massiveres Gebäude aufprallte...
und, statt unmittelbar explodieren, merkwürdigerweise drang
durch die panzerhafte Aussenwand wie ein Messer in die Butter!...
Nicht nur der Rumpf, aber auch der mehr als 15 m hohe Seitenruder verschafft sich
einen sauberen Weg durch die (nur 3 m entfernten) Stockwerkboden!...
Das heiβt, hier das Aluminium schneidet Stahlbeton !..
Wirklich, wir haben einen wunderbaren Tag erlebt...

Was mich heute erstaunt, ist, daβ die ganze Menschheit eine solche Absurdität geglaubt hat.
Wenn irgendeiner Leser diese Frage - vernunftigerweise, vorurteleilsfrei,
aber wagemutig – erörtern will, kann ich ihm kaum etwas ernsteres empfehlen:

http://www.reopen911.org/

Wir haben schon ein Beispiel davon in der Geschichte der Vereinigten Staaten: http://en.wikipedia.org/wiki/The_War_of_the_Worlds_%28radio%29



Saturday, September 09, 2006


Zeit, Tod und schmutziges Geschirr

Kommentar
Luiz Carlos Siqueira Campos (Letalon)07.09.2006, 05:06

Der einzige Ausweg...

Dem Gesetz des unwiderruflichen Verfalls entgehen nur noch die Lebewesen...im Verlauf ihrer Leben, selbstverständlich. Aus einem winzigen Korn kann ein ganzer Wald entstehen! Wieso?...Woher kommt, flieβt, die Kraft die bei ihnen ermöglicht, daβ aus einfachen Substanzen - – (CO2, H2O, H2, O2...) - komplexe Molekulen zusammen gebastelt werden, durch den geheimnisvollen Vorgang der Photosynthese. Im Universum herrscht das Prinzip der Entropie...Die Quelle dieser Kraft kann nur noch von aussen einwirken, auβerhalb der Schöfpfung sein: einfach gesagt, das Leben ist die Frucht der unaufhörlichen Tätigkeit des Schöpfers, der Allmacht Gottes!...Gott sei gelobt!

Saturday, September 02, 2006



L'Église s'invite dans les écoles russes

Fabrice Nodé-Langlois .
ublié le 02 septembre 2006Actualisé le 02 septembre 2006 : 21h10

La barbe blanche du vénérable Alexis II figure toujours au premier rang des cérémonies officielles à l'heure où le Kremlin cherche à bâtir une «idéologie nationale». Rodinov/Abacpress

C'EST UN SIGNE supplémentaire du retour de l'Église orthodoxe au coeur de la société russe. Pour la première fois, alors que la rentrée se déroulait, hier, pour les quelque 13,95 millions d'écoliers, des cours sur la culture orthodoxe figureront cette année comme matière obligatoire. Ceci dans quatre régions de la Fédération.

Les parlements des régions de Kalouga, Briansk, Belgorod et de Smolensk, au sud et à l'ouest de Moscou, ont en effet pris cette initiative. Un excès de zèle par rapport aux consignes du ministère de l'Éducation selon lesquelles cette discipline doit rester facultative. Si le patriarcat se défend de faire du catéchisme à l'école (lire interview ci-dessous), l'objectif, explique une responsable de l'éducation de la région de Briansk, berceau de la branche orthodoxe des Vieux Croyants, citée par le Moscow Times, est de contrer «la propagande» en faveur de la drogue et de la violence. «Il s'agit d'une discipline culturelle», justifie le chef de l'Église orthodoxe, le patriarche Alexis II. Chaque jeune doit connaître l'histoire de sa culture. Les gens d'autres confessions qui habitent notre pays doivent bien sûr étudier leur culture, mais ils doivent aussi connaître la culture du pays où ils habitent.»

Dans l'immense Fédération multinationale, qui compte aujourd'hui quelque 14 à 23 millions de musulmans selon les estimations, soit 10 à 16% de la population, l'irruption de l'orthodoxie dans les écoles publiques a suscité des réactions hostiles. Le Conseil des muftis de Russie a annoncé qu'il interviendrait auprès du Kremlin pour étendre les cours sur l'islam au-delà des républiques du Caucase. De fait, la constitution de la Fédération de Russie de 1993 pose le principe d'un État séculier et l'égalité des religions devant la loi.

Viktor Choudegov, président de la Commission chargée de l'éducation au Conseil de la Fédération (la chambre haute du Parlement), estime que ces cours ne devraient être que facultatifs, comme c'était le cas jusqu'à présent. Irina Khakamada, chef du parti Notre Choix, candidate libérale à la présidentielle de 2004, avait déjà dénoncé le risque d'avoir «d'ici à dix ans, une génération de gens gris, aux cerveaux lavés».

Débats de société

D'après les sondages, une large majorité de l'opinion serait favorable à ces cours. Macha, mère de deux garçons à Smolensk, n'était que vaguement au courant de la réforme et a découvert fortuitement le manuel de culture orthodoxe parmi les livres que l'école prête à son aîné, Micha, collégien. La jeune femme, comme tous les enfants de l'ère Brejnev, n'a pas reçu d'éducation religieuse. Elle a été baptisée discrètement, comme des millions de Russes à l'époque soviétique, et n'est pas hostile à ces leçons. L'adolescent Micha, lui, voit cette matière surtout comme des heures supplémentaires.

Bannie par l'idéologie communiste, l'église orthodoxe a relevé la tête depuis quinze ans. La barbe blanche du vénérable Alexis II, 76 ans, figure toujours au premier rang des cérémonies officielles retransmises par la télévision. À Moscou comme dans les campagnes, les bulbes dorés, grâce aux financements des hommes d'affaires sollicités par l'Église, ont retrouvé leur éclat.

L'Église intervient davantage dans les débats de société. Elle a condamné la Gay Pride moscovite et le film Da Vinci Code. En avril dernier, un concile a adopté une «déclaration de la dignité et des droits humains» qui prend ses distances avec la conception occidentale des droits de l'homme. Plusieurs ministres présents lors de ce concile avaient rappelé, pour plusieurs commentateurs, le credo tsariste «orthodoxie, autocratie, nationalité». Ceci au moment où des proches de Vladimir Poutine estiment urgent de bâtir une «idéologie nationale» en vue de l'élection présidentielle de 2008.

Thursday, August 31, 2006

Tuesday, April 25, 2006

DESARMAMENTO:
http://br.groups.yahoo.com/group/alcademira2/join

Comércio de armas cai 92% com o Estaburro!

Os R$ 280 milhões gastos para realizar o referendo de 2005 sobre a proibição do comércio de armas foram gastos em vão. O que vem condenando a prática é o Estatuto do Desarmamento


MARINÊS CAMPOS


Cinco meses e R$ 280 milhões de gastos depois de o governo perguntar aos brasileiros se queriam ou não a proibição da venda de armas, os números da Polícia Federal e dos comerciantes de revólveres e pistolas mostram que o referendo nem precisaria ter sido realizado.
Na consulta de outubro passado, 64% dos eleitores optaram por continuar tendo o direito de comprar uma arma. Mas mesmo assim esse tipo de comércio está a caminho da extinção.
A causa é o Estatuto do Desarmamento. Em vigor desde dezembro de 2003, a lei já foi suficiente para provocar uma queda de 92% no comércio de armas e para levar boa parte dos lojistas à falência.
A peneira da lei é tão fina que, até 2003, quando a Polícia Civil ainda era a encarregada da emissão do documento, 7.387 portes de arma foram expedidos no Estado. Depois do Estatuto, a atribuição passou a ser da PF e, dos 2.064 pedidos, apenas 16 foram concedidos.
E a análise do perfil do candidato para a concessão, ou não, pode durar até um ano, segundo especialistas, embora a PF argumente que o prazo é de cerca de 40 dias. As exigências da legislação são tantas que passar pela gincana da PF, hoje, é tarefa para poucos.
O interessado em comprar uma arma - precisa ser maior de 25 anos - tem de enfrentar uma maratona para juntar sete certidões, passar por dois testes (o de aptidão psicológica custa R$ 300 e o de capacidade técnica, R$ 100) e pagar uma taxa de R$ 1 mil. Depois, ainda precisa provar - e essa é a tarefa mais difícil - que tem necessidade de andar armado.
Tanta exigência está acabando com essa categoria dos comerciantes de armas.
"Nossa entidade ainda existe por teimosia", diz Misael Antonio de Sousa, diretor regional da Associação Nacional dos Proprietários e Comerciantes de Armas (ANPCA).
Depois da lei, os lojistas que expunham nas vitrines todo tipo de revólveres. e pistolas amargaram 92% de queda nas vendas.
"Os que ainda existem estão sobrevivendo da venda de artigos esportivos, como material para pesca ou camping", conta Sousa. Segundo ele, das 1.730 lojas que havia no País, somente 120 estão conseguindo, por enquanto, manter as portas abertas. Em São Paulo, das 70, restaram 12. Lojas tradicionais, como a Casa Mabel ou a Tiro Certo, no Centro, foram à falência.
"Eu mesmo deixei de importar e de vender armas por causa dos impostos e das exigências legais", conta o diretor regional da ANPCA."As autoridades brasileiras só pensam em proibir, em vez de regulamentar. Dessa forma, não tenho dúvida de que estão alimentando o comércio clandestino."
Sousa vê mais problemas à frente. No fim deste ano, os donos de armas do País terão de ir à Polícia Federal para fazer o recadastramento. Para isso, terão de juntar a papelada exigida, sob pena de caírem na ilegalidade - e, nesse caso, estar fora da lei significa o risco de dois a quatro anos de prisão.
"Se não mudarem a legislação, o Brasil terá milhares de 'criminosos' com armas em casa", alerta o diretor da ANPCA. "As autoridades precisam entender que, nas condições impostas, poucos terão condição de fazer o recadastramento."
Só com documentos e os testes, mais o valor da taxa de registro, de R$ 300 - o registro dá o apenas direito de alguém manter uma arma em casa - o dono de um revólver vai gastar cerca de R$ 700. Ainda assim, não terá a certeza se o documento será renovado.
Mas, se a entidade se queixa do Estatuto do Desarmamento, a polícia comemora a sua aprovação. O delegado Armando de Oliveira Costa Filho, chefe da Divisão de Homicídios, da Polícia Civil, afirma que esta lei tem levado bandidos perigosos para a prisão.
Muitas vezes, suspeitos de vários crimes são pegos com armas ilegais, motivo suficiente, depois da lei, para ser preso em flagrante.
"A comunidade, sabendo que o criminoso está preso, colabora com informações. Dessa forma, a investigação flui e a coleta de provas se torna mais simples" explica o policial.
[ Argumento sem nenhuma consistência...Para prender um marginal por porte ilegal de arma não era preciso e não foi feito o iníquo e inócuo ( mais que isso:contraproducente, no combate ao crime...) Estatuto do Desarmamento. Seu objetivo inconfessado, mas evidente, é desarmar as pessoas honestas. Porque ? Em breve veremos...]

No mercado negro, um '38' custa só R$ 400 Na loja, novinho em folha, um revólver calibre 38 custa entre R$ 1,1 mil e R$ 2 mil.
Mas, antes de preencher o cheque para o comerciante, o interessado na compra da arma tem de passar pelo crivo do Estatuto do Desarmamento e pelos testes da Polícia Federal.
Eduardo, 37 anos, abrevia o caminho e, sem nenhuma burocracia - somente com dinheiro - , consegue o mesmo produto por R$ 400. Em liberdade condicional há poucos meses, depois de cumprir pena de oito anos por tráfico de drogas e roubo, reaprendeu rápido a conhecer os caminhos que levam à ilegalidade.
"Se a polícia disser o contrário, eu desafio qualquer delegado: me dê R$ 400 que, no máximo em duas horas, volto com a arma encomendada."
E Eduardo diz que não precisa se embrenhar nos fundões da periferia para conseguir um revólver.
"Hoje em dia, a gente consegue em qualquer lugar. Quem precisa, não se aperta."
No Parque D. Pedro ou ao redor do Mercado Municipal, no Centro, diz ele, é possível encontrar o produto procurado.
"É só encostar em alguns camelôs para fazer o negócio. Também tem os 'nóias', que, para comprar droga..."
Fonte: http://www.movimentovivabrasil.org.br



Moral da história: para poder exercer o sagrado direito (e dever...) de defender-se na selva em que estão se transformando as cidades brasileiras ( para não falar do campo, assolado pelo MST...) o Brasileiro honesto é constrangido a transgredir a lei...





 

Saturday, March 11, 2006

KM.RU - Russie - Ukraine - Falsification...


Je suis Brésilien, anticommuniste convaincu. Je voudrais aider moralement les pays de l'ancienne URSS à s'harmoniser graduellement. Mais cela est parfois compliqué...Évaluez :
KM.RU - Le grand multiportal se présente comme une tribune publique de la Russie démocratique. Cependant, quoi et qui s'occultent effectivement sous sa brillante surface ? Il m'est arrivé une affaire inattendue et, avant tout, symptômatique...Comme l'on sait, KM.RU entreprend la publication d'une série d'articles sur la "guerre de l'information", les derniers de laquelle consacrés à la question ukrainienne. Au sixième, j'ai envoyé un commentaire, lequel d'abord ils ont refusé de publier. Ensuite, oui...Mais sur une fausse page ! C'est-à-dire, qui n'existe pas...Cette page ne figure pas sur la liste !
Pourquoi un refus si obstiné est-il nécessaire ? Mon commentaire s'oppose-t-il, peut-être, aux vraies intentions des instigateurs de cette série ?
Quelles sont ses aspirations ? Mieux disant, leurs utopies insensées et dangereuses ? Conquérir l'Ukraine ? Cela aurait été le chemin le plus court vers la troisième, la dernière guerre mondiale...Avec de pareils fous, je m'inquiète sur l'avenir de la Russie...Mais, voilà mon commentaire prohibé :



Starorel 05.03 10.07

Cette série a été magnifiquement conçue et heureusement réalisée. Il m'a été possible de comprendre le présent, de revenir aux premières causes artificielles de la cission entre les parties composantes de la Russie. Mais, pour ce qui est du futur, la question devient complexe...Malgré tout, l'Ukraine existe. Quand même seulement dans la pensée des Russes qui y habitent. Et à l'Histoire, comme à la vie, il n'est pas possible de faire marche-arrière...
La reconnaissance de la réalité objective, cela est un principe fondamental pour la solution de n'importe quel problème. Quelle est cette réalité ? L'Ukraine a longtemps existé seulement comme partie d'empires...lesquels n'existent plus...Le communisme, le tueur du tzarisme, s'est écroulé avec fracas définitivement...Où est-elle, aujourd'hui, la force unitrice équivalente ? Absence fatidique pour le futur de la Russie et des nations de l'ex-URSS...
L'avenir de l'Ukraine peuvent décider seulement les habitants de chacune de ses parties, selon leur appartenance religieuse, linguistique et culturelle. Tout mène à la fédéralisation de l'Ukraine... voire à la séparation de ses parties orientales. En avant, Russie ! Dieu est avec nous !!!










 

Friday, March 10, 2006



KM.RU – Россия – Украина – Фальсификация


Я Бразилец, убеждённый антикоммунист. Хотел бы морально помогать народы бывшего СССР, чтобы постепенно гармонировались. Но это порой сложно...Оценивайте:

KM.RU - Крупный мультипортал представляет себия общей трибуной демокпатической Россиии.
Однако, что и кто действительно прятается под блеском его поверхности ? Мне случилось неожиданное и, скорее всего, доказательное дело...Как известно, KM.RU предпринимает издание великую серию о «информационной войне», остальные статьи которой посвященные украинским вопросу. За шестую послал я комментарий, который в первую очередь не опубликовали. Во вторую, да...
Однако на фальшивую страницу ! Значит, не существует...Этой страницы в списке нет !
Почему нужн такой упорный отказ ? Разве противостоит мой комментарий истинным намерениям зачинщиков этой серии ? Какие их стремления ?
Лучше сказано, их безумные и опасные утопии ? Завоевать Украину ? Это было бы корощим путём к третьей, остальной мировой войне...Такими сумасшедшими беспокоюсь о будущем России...
Ну вот, мой запрещённые комментарий :

Starorel 05.03 10:07

Эта серия прекрасно подуманна и хорошо реализованна. Мне можно было понимать происходящее, вернуться к первоначальным неествественыьм причинам раскола между составными частями России. Но, что касается будущего, вопрос становится сложно...Несмотря ни на что, Украина всё же есть. Хотя бы только в мыслях тамощних русских. И истории так как и жизни, невозможно идти задом наперёд...Признание обьективной реальности, это основной принцип для решения любого вопроса. Какой эта действительность ? Украина была давно лишь частью империий...которые вже больше не существуют...Коммунизм, убийца царизма, громко и окончательно рухнул...Где сегодня подобная единотворческая сила ? Роковое отсутствие для будущего России и стран бывшего СССР...Будущее Украины дольжны решить только жители каждой её частей, согласно с релегиозным, язычным, культурным принадлежностью. Всё ведёт к федерализации Украины...даже к отделению её восточных частей. Вперёд, Россия ! С нами Бог !!!



Une loi contre l’avortement .

Le Dakota du Sud secoue l’Amérique



Dans Présent du Jeudi 9 mars, on peut lire, sous la plume de Jeanne Smits cet intéressant article :


Mike Rounds, gouverneur du Dakota du Sud, a suivi la volonté de la chambre des représentants et du sénat de son Etat – majoritairement exprimée à la fois par des démocrates et des républicains – de recriminaliser l’avortement, y compris en cas degrossesse consécutive au viol ou à l’inceste, et en admettant une seule exception : le cas où la mère est en danger de mort. Le texte prévoit explicitement que seuls les médecins pratiquant l’avortement risquent une peine pouvant atteindre cinq ans d’emprisonnement, tandis qu’il exclut toute poursuite contre la mère. Il bannit par la même occasion les « pilules du lendemain » – sauf dans les cas de viol et d’inceste – et affirme que la vie humaine commence dès la fécondation. C’est donc possible. Le combat pour la vie n’est pas perdu d’avance : n’ayons pas peur !Le gouverneur a pris le temps de la réflexion avant d’apposer sa signature sous cette loi. Dans cet Etat où seule subsiste une clinique d’avortement gérée par le Planning familial, la pratique est déjà devenue marginale : 800 avortements par an. Il l’a fait au nom deprincipes clairs et d’une foi affirmée. « Dans l’histoire du monde, le vrai critère de la civilisation est celui de la manière dont les gens traitent ceux qui dans leur société sont les plus vulnérables et le plus sans défense. Les sponsors et les partisans de cette loi croient que l’avortement est un mal parce que les enfants à naître sont les personnes les plus vulnérables et les plus sans défense dans notre société.Je suis d’accord avec eux », a-t-il déclaré, plaidant pour que cet événement ne marque pas le point final du combat pour la vie. Ajoutant également que quel que soit l’avenir du texte, tout cela ne serait rien si dans la pratique, dans son Etat, la vie n’était pas réellement accueillie, et il a demandé une vraie mobilisation pour venir en aide aux mères… Les évêques catholiques du Dakota du Sud et du Nord ont tous deux salué cet événement qui est en effet historique : il s’agit d’une attaque frontale contre la jurisprudence Roe versus Wade par laquelle la Cour suprême des Etats-Unis alégalisé l’avortement en 1973. Et il faut bien comprendre que la bataille se situe sur le plan juridique, et de la justice au sens le plus noble du terme : obtenir que dans la loi, la « liberté » revendiquée au nom des femmes et à leur détriment ne surpasse plus la vérité ; que le mal ne soit plus appelé bien et autorisé comme tel. Les évêques rappellentqu’un renversement de la jurisprudence ne dispense pas chacun d’œuvrer pour une véritable culture de vie ; et que ce combat-là ne devra pas cesser aussi longtemps que la nouvelle loi n’est pas inscrite dans le droit.Tel est en effet le pari risqué engagé par le Dakota du Sud, et à sa suite dans une dizaine d’autres Etats qui s’apprêtent à promulguer des textes similaires. Un double pari : en écartant les exceptions de viol et d’inceste, le législateur de cet Etat américain a voulu exprimer toute la radicalité du principe de respect de la vie humaine, et il n’est pas suivi par tous. A commencer par George W. Bush qui s’en est – malgré ses nombreuses déclarations pro-vie – désolidarisé. En deuxième lieu, une âpre bataille judiciaire s’annonce : si la loi entre théoriquement en vigueur au 1er juillet, il faudra attendre bien plus longtemps pour qu’elle prenne réellement effet, vu la mobilisation déjà acquise des partisans de l’avortement et notamment du Planning familial qui font déjà unecollecte de fonds pour financer la procédure.C’est notamment Le Figaro qui le raconte, sous ce titre fielleux : « Le Dakota du Sud lance la cabale antiavortement », en dénonçant un texte « extrême »… En premier lieu, un référendum d’initiative populaire (curiosité constitutionnelle du Dakota du Sud) pourrait bloquer la loi. Plus certainement, une contestation s’engagera devant un tribunal, à la suite d’un avortement refusé, voire en tirant de la simple existence du texte qui « empêcherait » une femme d’avoir des relations sexuelles par crainte de tomber enceinte et de ne plus pouvoir avorter (eh oui, ce cas est évoqué !). Cela aurait un effet suspensif. Combien de temps faudrait-il alors pour que le texte aboutisse devant la Cour suprême, pour y obtenir peut-être les quatre voix nécessaires pour que les neuf juges se le voient soumettre ? Un an, deux, jusqu’àtrois et demi, répondent les experts,arguant de l’extrême simplicité du cas (la loi est clairement contraire à la jurisprudence constituante de la Cour suprême), mais aussi de la lenteur d’autres dossiers plus parcellaires comme l’interdiction de l’avortement tardif « par naissance partielle », qui ont patienté bien longtemps avant d’arriver aux portes de la Cour. Une fois là-haut, c’est quitte ou double.Depuis le remaniement de la Cour suprême on estime que quatre juges continueront d’affirmer la constitutionnalité de Roe versus Wade que la nouvelle loi attaque de manière frontale comme l’a affirmé sans ambages Mike Rounds.Thomas et Scalia choisiront de la renverser et les deux nouveaux, Roberts et Alito devraient faire de même, mais il reste un « incertain ». Et aussi beaucoup d’impondérables : il semblerait que les promoteurs du texte aient parié sur un nouveau remplacement d’ici à ce que leur loi arrive à Washington. S’agissant des Etats-Unis, l’argent n’est jamais loin et l’on s’attend avant tout, de part et d’autre, à une procédure longue et coûteuse, qui exigera des millions de dollars. Le lobby pro-vie apportera son soutien financier à l’Etat du Dakota du Sud – s’il ne se divise pas sur les termes de la loi ; en face, on fourbit aussi les armes économiques. Sordide? Mais l’avortement légal l’est bien davantage, et ils font, courageusement, avec ce qu’ils ont.

JEANNE SMITS

Jeanne Smits écrit (bien) dans Présent, le quotidien des francais catholiques.

 

Tuesday, August 22, 2006

Maria imperat!

LPENM!!!!


Motorola Razr
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